L’IoT : le maillon faible de la cybersécurité de demain
L’IoT : le maillon faible de la cybersécurité de demain
La combinaison de la croissance exponentielle des appareils IoT, de leurs vulnérabilités inhérentes, et de leur utilisation croissante dans des domaines critiques, crée un environnement propice à une augmentation significative des cyberattaques ciblant l'IoT dans les années à venir.
Si l’Internet des objets (IoT) offre des opportunités passionnantes pour l’innovation et la connectivité, il expose également les entreprises qui doivent relever de nouveaux défis en matière de cybersécurité.
1. 5 chiffres clés sur la cybersécurité et l’IoT
- Accélération des attaques visant les objets connectés : en 2023, environ 27% des attaques sur les entreprises impliquent des appareils IoT, une augmentation par rapport aux années précédentes.
- + 400% des attaques combinées IoT en 2023 par rapport à 2022, selon ZScaler
- + 50% des attaques par malware spécifiques à l'IoT en 2020, rapportée par SonicWall
- Volume des appareils IoT : d'ici 2025, il est estimé qu'il y aura plus de 75 milliards d'appareils IoT en usage dans le monde. Ce volume accru d'appareils offre une plus grande surface d'attaque pour les cybercriminels.
- Coût des attaques : le coût des cyberattaques impliquant des appareils IoT peut être extrêmement élevé pour les entreprises. Une seule attaque peut coûter en moyenne 330 000 USD, selon une étude de Ponemon Institute.
- Durée des intrusions : environ 63% des entreprises ne sont pas conscientes qu'elles ont été attaquées via des appareils IoT pendant plusieurs mois, ce qui laisse le temps aux attaquants de compromettre davantage les systèmes internes.
- Sécurité faible des appareils : environ 80% des appareils IoT utilisés en entreprise sont jugés insuffisamment sécurisés, ce qui en fait une cible facile pour les cyberattaques.
2. 4 facteurs majeurs expliquent cette augmentation des attaques liés à l’IoT
- La multiplication des objets connectés déployés, qui élargit la surface d'attaque
- Le manque persistant de sécurisation de nombreux appareils IoT
- La valeur croissante des données collectées par ces objets
- L'interconnexion accrue entre les systèmes IoT et les infrastructures critiques
3. Les cyberattaques via des IoT les plus médiatisés
Le piratage d'une Centrale Hydroélectrique aux États-Unis
En 2020, un cas emblématique concerne l'attaque sur un réseau de capteurs industriels dans une centrale électrique. Les attaquants ont ciblé un dispositif IoT utilisé pour la gestion et la surveillance des opérations de la centrale.
Ce dispositif était connecté au réseau principal, permettant aux pirates de tenter d'accéder aux systèmes critiques de la centrale.
Les attaquants ont exploité ces vulnérabilités pour accéder au système de contrôle, leur permettant de manipuler les opérations de la centrale et créant des risques potentiels pour la sécurité publique. L’absence de segmentation réseau et de surveillance proactive a permis aux attaquants de se déplacer latéralement dans le réseau, aggravant les conséquences de l’attaque.
Heureusement, l'attaque a été détectée avant que les attaquants ne puissent causer des dommages significatifs. Les mesures de sécurité en place ont permis d'intercepter l'intrusion, mais cet incident a mis en évidence la vulnérabilité des infrastructures critiques, comme les centrales électriques, face aux cyberattaques utilisant des dispositifs IoT.
Un Ransomware prend en otage des thermostats connectés dans un casino
En 2018, des pirates ont réussi à s'infiltrer dans le réseau d'un casino nord-américain, des cybercriminels ont réussi à pénétrer le réseau interne via un thermomètre intelligent connecté à un aquarium. Le thermomètre IoT, mal sécurisé, a permis aux attaquants d'accéder au réseau du casino en exploitant une vulnérabilité.
Une fois dans le système, ils ont pu accéder à la base de données des joueurs et extraire des informations sensibles, dont une liste des clients VIP. Cette attaque a mis en lumière les risques liés aux objets connectés apparemment anodins.
Un Hôpital piraté via un Appareil Médical Connecté en Inde
En 2018, un hôpital en Inde a subi une cyberattaque via un dispositif médical connecté : un scanner IRM. Les attaquants ont utilisé ce point d'entrée pour déployer un ransomware qui a paralysé une partie des opérations de l'hôpital.
Cet incident a montré les risques critiques que les dispositifs médicaux connectés peuvent poser, non seulement pour la sécurité des données, mais aussi pour la vie des patients.
Une attaque DDoS via des objets connectés
En 2016, le botnet Mira est un botnet qui a été créé en infectant des caméras de sécurité, des routeurs et d'autres dispositifs IoT. Ce botnet a été utilisé pour lancer une attaque massive sur Dyn, un fournisseur de DNS, causant des interruptions de service sur des sites majeurs comme Twitter, Netflix et PayPal. Il a infecté des centaines de milliers d'objets connectés mal sécurisés démontrant la puissance destructrice que peut avoir un réseau d'objets IoT compromis./
Mozi est devenu le botnet dominant affectant les dispositifs IoT, avec des millions d'appareils compromis, utilisés pour des attaques DDoS et potentiellement pour d'autres activités malveillantes. Ces tendances mettent en évidence la nécessité pour les entreprises de renforcer la sécurité autour de leurs dispositifs IoT et d'adopter des stratégies de cybersécurité robustes pour se protéger contre ces menaces croissantes.
Si les institutions se saisissent actuellement du sujet...
La RGPD pour les données collectées, elles vont plus loin avec NIS 2 et Resilience Act qui vont impacter fortement les constructeurs de capteurs en matière de sécurité.
Cette démarche européenne va néanmoins permettre aux entreprises d’ y voir plus clair dans leur démarche et leurs choix en matière de dispositifs IoT.
En attendant plus de clarté, voici des recommandations et les meilleures pratiques pour s’inscrire dans une démarche de sécurisation des objets connectés.
✅ Checklist sécurité IoT
- Recenser tous les objets connectés utilisés dans l’organisation.
- Vérifier la conformité RGPD des dispositifs collectant des données personnelles.
- Changer les identifiants par défaut sur chaque équipement IoT.
- Segmenter le réseau (séparer les IoT du réseau bureautique).
- Activer la supervision et les alertes sur le trafic des objets connectés.
- Maintenir les firmwares et correctifs de sécurité à jour.
- Restreindre les accès externes aux seules adresses IP autorisées.
- Évaluer les fournisseurs IoT selon leurs certifications (ANSSI, ISO 27001, etc.).
- Sensibiliser les équipes aux risques IoT (formations, exercices de phishing).
- Planifier un audit annuel de sécurité IoT.
Comment simplifier les obligations réglementaires en copropriété ?
L’IoT : le maillon faible de la cybersécurité de demain
Depuis 2024, les copropriétés sont confrontées à une avalanche d’obligations légales en matière d’énergie et de performance environnementale.
Le diagnostic de performance énergétique (DPE) collectif est désormais obligatoire, le décret tertiaire impose des réductions de consommation sur plusieurs décennies, et la réglementation environnementale RE2020 fixe de nouvelles exigences pour les bâtiments neufs.
👉 Pour les syndics et bailleurs, la douleur est double :
- collecter et consolider des données souvent éparpillées,
- répondre à des formats différents selon les organismes (bureaux d’études, plateforme OPERAT ….).
Dans ce contexte, disposer d’un point central unique pour ses données énergétiques devient un levier de conformité, de gain de temps et de transparence vis-à-vis des copropriétaires.
DPE collectif obligatoire : que doivent faire les copropriétés ?
Depuis le 1er janvier 2024, toutes les copropriétés d’habitation construites avant 2013 doivent réaliser un diagnostic de performance énergétique (DPE) collectif (Service-Public.fr).
Ce DPE vise à évaluer la performance énergétique globale de l’immeuble.
Il sert de base pour planifier d’éventuels travaux d’amélioration (isolation, chauffage, ventilation).
C’est le syndic qui doit missionner un bureau d’études certifié pour réaliser ce DPE, sur la base de données fiables et complètes.
👉 Problème côté syndic : centraliser les factures et consommations de chauffage, d’eau chaude et d’électricité de parties communes, puis les transmettre de façon exploitable à l’ingénieur.
Le décret tertiaire : un objectif de -60 % d’ici 2050
Issu de la loi ELAN (2018), le décret tertiaire concerne les bâtiments tertiaires de plus de 1 000 m². Certaines copropriétés mixtes (parties communes ou surfaces commerciales) sont donc concernées.
Objectifs de réduction de la consommation énergétique finale :
- -40 % en 2030,
- -50 % en 2040,
- -60 % en 2050 (Ministère de la Transition écologique).
Obligation annuelle : déclarer les consommations sur la plateforme OPERAT, gérée par l’ADEME.
Douleur côté syndic/bailleur : collecter les données dans un format compatible (CSV ou saisie manuelle), puis effectuer la déclaration sur OPERAT chaque année.
RE2020 : la réglementation s’applique-t-elle aux copropriétés ?
Entrée en vigueur le 1er janvier 2022, la RE2020 remplace la RT2012. Elle fixe des exigences renforcées en matière de performance énergétique et d’impact carbone des bâtiments neufs (Ministère de la Transition écologique).
Objectif : construire des bâtiments moins énergivores et à faible empreinte carbone.
S’applique aux logements neufs, aux extensions et à certaines reconstructions.
Pour les bailleurs et syndics, son impact est indirect mais stratégique : anticiper ces normes dans les projets de rénovation lourde ou d’agrandissement.
Pourquoi ces obligations compliquent-elles la vie des syndics ?
Multiplication des formats et plateformes
Chaque obligation impose un canal différent :
- Le DPE collectif → rapport PDF rédigé par un bureau d’études.
- Le décret tertiaire → saisie annuelle sur la plateforme OPERAT (ADEME).
- La RE2020 → contrôles spécifiques lors des dépôts de permis de construire.
Conséquence : les syndics doivent gérer des données dispersées et jongler entre plusieurs formats (PDF, CSV, plateformes en ligne).
Une charge administrative qui s’ajoute à la technique
- Collecter, vérifier et ressaisir les consommations prend du temps.
- Risque accru d’erreurs ou d’incohérences si les données ne sont pas consolidées en amont.
- Les syndics passent plus de temps sur la paperasse réglementaire que sur la gestion de terrain.
Comment IoT.Now simplifie la conformité réglementaire ?
Centralisation des données énergétiques
IoT.Now collecte automatiquement les consommations de chauffage, eau, électricité, ascenseurs, VMC… et les enregistre de manière fiable et horodatée.
Exports adaptés à chaque obligation
- XLS → pour transmettre les données au bureau d’études chargé du DPE collectif.
- CSV → pour préparer la déclaration annuelle dans OPERAT (décret tertiaire).
- Word → pour générer des rapports pédagogiques destinés à l’assemblée générale, enrichis de commentaires du syndic.
Flexibilité plutôt que rigidité
Contrairement à certaines solutions qui imposent un format figé, IoT.Now offre une souplesse totale : le syndic décide quoi exporter, quand et comment.
Cela permet de répondre aux attentes variées : bureaux d’études, organismes publics, banques, copropriétaires.
Comment un syndic gère DPE, décret tertiaire et AG avec iot.now ?
Étape 1 – DPE collectif : export XLS des consommations consolidées pour l’ingénieur.
Étape 2 – Décret tertiaire : export CSV pour intégration dans OPERAT (ADEME).
Étape 3 – Assemblée générale : rapport Word avec graphiques + commentaires pour expliquer les obligations et les économies possibles.
Avec un seul outil, le syndic couvre trois besoins différents, gagne du temps et évite les erreurs.
Comment anticiper et simplifier vos démarches sur le long terme ?
Les obligations réglementaires (DPE collectif, décret tertiaire, RE2020) sont incontournables et vont continuer à se renforcer. Pour les syndics et bailleurs, le vrai défi n’est pas la collecte des données, mais la capacité à les utiliser dans des formats différents selon les interlocuteurs. IoT.Now apporte une réponse pragmatique : un point central unique pour toutes vos données, avec la liberté d’exporter en XLS, CSV ou Word. Résultat : conformité assurée, gain de temps et crédibilité renforcée en assemblée générale.
Vous devez préparer une AG ou un rapport règlementaire?
Découvrez comment IoT.Now centralise vos données et vous permet d’exporter en XLS, CSV ou Word, pour répondre vos obligations.”
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Références légales et sources officielles
- Article L134-1-1 du Code de la construction et de l’habitation pour le DPE collectif.
- Loi ELAN 2018 et décret n°2019-771 pour le décret tertiaire.
- Guide RE2020 et arrêtés ministériels sur le site du Ministère de la Transition écologique.
- Plateforme OPERAT (ADEME) pour le suivi du décret tertiaire.
- Service-Public.fr, ADEME, Ministère de la Transition écologique.
FAQ SEO – Obligations réglementaires copropriété
1. Qu’est-ce que le DPE collectif obligatoire en copropriété ?
Depuis le 1er janvier 2024, les copropriétés construites avant 2013 doivent réaliser un diagnostic de performance énergétique (DPE) collectif. Ce document évalue la performance énergétique globale de l’immeuble et aide à planifier des travaux d’amélioration (Service-Public.fr).
2. Qui est concerné par le décret tertiaire ?
Le décret tertiaire, issu de la loi ELAN (2018), s’applique aux bâtiments tertiaires de plus de 1 000 m². Il impose une réduction de la consommation finale d’énergie de -40 % en 2030, -50 % en 2040 et -60 % en 2050. Les consommations doivent être déclarées chaque année sur la plateforme OPERAT de l’ADEME (Ministère de la Transition écologique).
3. La RE2020 s’applique-t-elle aux copropriétés existantes ?
La RE2020 s’applique depuis 2022 aux bâtiments neufs, notamment aux logements collectifs. Elle vise à réduire la consommation d’énergie et l’empreinte carbone des constructions (Ministère de la Transition écologique). 👉 Pour les copropriétés existantes, elle ne s’applique pas directement, mais elle sert de référence pour anticiper les futures rénovations lourdes.
4. Quelles données doivent fournir les syndics pour être en conformité ?
- Pour le DPE collectif : consommations énergétiques des parties communes (chauffage, eau chaude, électricité).
- Pour le décret tertiaire : données consolidées de consommation énergétique, déclarées via OPERAT (ADEME).
- Pour les AG de copropriété : rapports clairs et pédagogiques expliquant les obligations et leur impact sur les charges.
5. Comment IoT.Now facilite-t-il la conformité réglementaire ?
IoT.Now centralise toutes les données énergétiques de la copropriété (chauffage, eau, électricité, VMC, ascenseurs).
- Export XLS → pour le bureau d’études qui réalise le DPE collectif.
- Export CSV → pour déclarer sur OPERAT (décret tertiaire).
- Export Word → pour préparer un rapport commenté à destination des copropriétaires.
Résultat : un seul point central pour toutes les obligations, moins de risques d’erreurs et un gain de temps significatif.
Comment éviter la décote énergétique en copropriété ?
Comment éviter la décote énergétique en copropriété ?
Quelle est la décote réelle d’un logement mal classé au DPE ?
Lors de l’assemblée générale d’une copropriété de 80 logements, un copropriétaire prend la parole : « Mon appartement est classé F au DPE. En 2028, je ne pourrai plus le louer. Et il perd déjà de la valeur… Que fait-on ? »
Le syndic reste silencieux. Il sait que le problème est bien réel :
- Les Notaires de France (2023) montrent que les logements classés F ou G se vendent 15 à 20 % moins cher qu’un logement de référence.
- La FNAIM parle même de -17 % en moyenne pour une étiquette G.
- Et la loi Climat & Résilience prévoit l’interdiction de louer ces logements dès 2025 pour les G, 2028 pour les F, 2034 pour les E.
Autrement dit, c’est un compte à rebours légal et financier qui menace la valeur patrimoniale des copropriétaires.
La décote énergétique : une réalité chiffrée
Un appartement estimé à 250 000 € aujourd’hui peut perdre jusqu’à 37 500 € de valeur si son DPE reste en F. Dans certaines zones rurales, la décote atteint même -20 % (Notaires de France).
À la location, un logement mal classé se loue en moyenne 20 à 25 % moins cher qu’un logement bien classé (Observatoire CLAMEUR, 2022).
Et la réglementation accélère la pression :
- Depuis 2023, les loyers des passoires thermiques (F et G) ne peuvent plus être augmentés.
- En 2025, les logements G seront interdits à la location.
- En 2028, ce sera le tour des F.
- En 2034, même les E seront exclus du marché locatif.
Les copropriétaires qui n’anticipent pas verront leur patrimoine se déprécier rapidement.
Pourquoi les copropriétés sont-elles les plus exposées ?
Dans une maison individuelle, un propriétaire décide seul. Mais en copropriété, les décisions se prennent en AG :
- un copropriétaire sur deux hésite à investir,
- les votes sont reportés faute de preuves tangibles,
- et les travaux arrivent trop tard, souvent dans l’urgence.
Ajoutons à cela la hausse continue des charges (+10,7 % en 2023 en Île-de-France, source FNAIM Grand Paris) : la marge de manœuvre financière est réduite. Sans données précises et partagées, convaincre une AG d’agir à temps est quasiment impossible.
Comment IoT.Now aide à éviter la décote énergétique ?
C’est ici qu’une plateforme de monitoring comme IoT.Now fait la différence.
Suivre et détecter les dérives
IoT.Now mesure en temps réel les consommations d’énergie, la ventilation, l’eau.
Une VMC encrassée qui consomme 30 % de plus n’est plus une surprise en fin d’année : elle est détectée immédiatement.
Documenter la trajectoire énergétique
Les données ne restent pas dans un tableau technique illisible.
Elles sont exportables en XLS et CSV pour les bureaux d’études, et en Word pour être projetées en AG avec des graphiques clairs.
Ainsi, le syndic peut dire:
“Voici où nous en étions l’an dernier, voici notre trajectoire aujourd’hui, et voici l’impact attendu si nous lançons ces travaux.”
Convaincre en AG avec des preuves
La discussion ne repose plus sur des promesses vagues, mais sur :
- un graphique de consommation,
- une estimation de décote évitée,
- un ROI patrimonial concret.
Le ton change : les copropriétaires ne défendent plus un budget, ils protègent leur patrimoine.
Cas concret : quelle perte de valeur pour une copropriété type ?
Prenons une copropriété type, 80 lots à 250 000 € chacun. Valeur totale actuelle : 20 M€.
Décote possible avec un DPE F : -15 % = perte de 3 M€.
Avec IoT.Now :
- Produire des rapports réguliers → AG convaincues d’investir progressivement
- Identifier les zones énergivores pour prioriser les travaux qui permettent de regagner en classe energétique rapidement
Comment transformer la loi Climat en opportunité patrimoniale ?
La plus grande menace pour une copropriété aujourd’hui n’est pas seulement la hausse des charges, mais la perte de valeur patrimoniale liée au DPE et aux obligations légales. Ne pas agir, c’est accepter une décote de 15 à 20 %.
Agir avec IoT.Now, c’est :
- anticiper les échéances réglementaires,
- prouver une trajectoire d’amélioration,
- préserver la valeur du patrimoine collectif.
IoT.Now transforme une contrainte réglementaire en opportunité de valorisation immobilière.
“Votre copropriété risque la décote énergétique ? Découvrez comment IoT.Now vous aide à protéger la valeur de votre patrimoine grâce à un suivi précis et des rapports pédagogiques prêts à présenter en AG.” >demo
FAQ – Comment préserver la valeur patrimoniale face à la décote énergétique
1. Quelle est la décote réelle d’un logement mal classé au DPE ?
Selon les Notaires de France (2023), un logement classé F ou G se vend en moyenne 15 à 20 % moins cher qu’un logement classé D. La FNAIM confirme une décote de -14 % pour F et -17 % pour G. En zone rurale, la décote peut même dépasser 20 %. 👉 Pour un appartement de 250 000 €, cela représente 37 500 € de perte de valeur.
2. Quand les logements mal classés seront-ils interdits à la location ?
La loi Climat & Résilience fixe un calendrier précis :
- 2025 : interdiction de louer les logements classés G.
- 2028 : interdiction pour les logements F.
- 2034 : interdiction pour les logements E.
Depuis 2023, il est déjà impossible d’augmenter le loyer d’un logement classé F ou G. 👉 C’est un compte à rebours légal qui oblige les copropriétés à anticiper.
3. Comment une copropriété peut-elle anticiper la décote énergétique ?
Le problème en AG, c’est souvent le manque de données fiables pour convaincre les copropriétaires d’investir. Avec une plateforme comme IoT.Now :
- les consommations sont suivies en temps réel,
- les dérives (chauffage, VMC, eau) sont détectées,
- les rapports (Word, XLS, CSV) permettent de documenter une trajectoire énergétique.
👉 Cela transforme un débat émotionnel en décision patrimoniale rationnelle.
4. Quels sont les coûts typiques d’une rénovation énergétique en copropriété ?
Selon l’ANAH (2022), une rénovation performante coûte 10 000 à 25 000 € par logement, en fonction de la profondeur des travaux (isolation, chauffage, ventilation). 👉 Suivre les consommations en amont avec IoT.Now permet de prioriser les travaux et d’éviter des dépenses inutiles.
5. Quel retour sur investissement attendre d’une rénovation énergétique ?
D’après l’ADEME (2021), une rénovation énergétique performante réduit les consommations de 30 à 50 %, avec un ROI sur 8 à 12 ans. Mais le bénéfice patrimonial (éviter une décote de -15 à -20 %) est immédiat. 👉 Un suivi IoT comme IoT.Now permet de prouver les économies dès la première année, et d’accélérer la rentabilité des travaux.
6. Pourquoi IoT.Now est-il plus adapté qu’une GTB pour protéger la valeur patrimoniale ?
Une GTB classique est conçue pour des bâtiments tertiaires >10 000 m², coûte 40–80 €/m² installé et enferme souvent le client dans un écosystème propriétaire. IoT.Now, au contraire, est :
- agnostique (compatible tous capteurs),
- multi-sites (un syndic peut suivre plusieurs immeubles),
- rapide (déploiement <30 jours),
- orienté AG (rapports pédagogiques pour convaincre les copropriétaires).
👉 C’est une solution pensée pour protéger la valeur des biens collectifs, sans complexité excessive.
Plateforme de monitoring IoT agnostique : 4 avantages stratégiques
Quels sont les 4 avantages d’une plateforme de monitoring IoT agnostique ?
Le déploiement d’une plateforme de monitoring IoT arrive souvent en bout de chaîne lors du déploiement d’un projet IoT. Néanmoins, le choix d’une telle solution est crucial lors de la phase conception de l'architecture globale d’un dispositif IoT.
En effet, c’est au sein de la plateforme de pilotage IoT qu’une entreprise va tirer parti concrètement de son investissement en mesurant son ROI. En d’autres termes, c’est le “livrable” final qui va lui permettre de piloter son activité.
C’est pourquoi l’approche doit être orientée vers des choix durables et flexibles en mettant l'accent sur la sécurité. Une plateforme de pilotage IoT agnostique permet de surmonter les silos technologiques du marché IoT en favorisant l'interconnectivité entre divers dispositifs dans des environnements variés.
Dans cet article, nous explorerons les avantages clés d’une plateforme de monitoring IoT agnostique et comment elle peut améliorer considérablement la démocratisation des projets IoT.
1. L’ interopérabilité et la résilience des dispositifs IoT
La collecte de données des capteurs IoT …
Une plateforme de monitoring IoT agnostique est conçue pour être compatible avec une large gamme de protocoles de communication et de cas d’usage.
La solution de pilotage agnostique des IoT permet ainsi d’intégrer facilement des appareils IoT de différents fabricants en fonction des besoins qui évoluent dans le temps au sein d’une même entreprise et en un point central.
… et des données issues de l’environnement de l’entreprise
Une plateforme de monitoring IoT centralise non seulement la gestion des différents capteurs, des différentes connectivités et des données et offre généralement la possibilité de connecter des API et des interfaces.
Elle permet ainsi l'intégration avec d'autres systèmes, applications du SI de l’entreprise. Ainsi les données et les alertes peuvent s'intégrer et remonter les données directement dans un ERP, un CRM ou encore des outils de machine learning. L’information est ainsi directement intégrée au SI de l’entreprise.
Chez certains éditeurs, des développements spécifiques peuvent même être déployés afin de collecter des données extérieures à la plateforme afin d’enrichir les analyses au sein même de la solution de pilotage IOT. Cette transversalité permet à une entreprise de disposer d’un puissant cockpit de pilotage.
Cette interopérabilité permet aux entreprises d’éviter d’être enfermées dans un fournisseur spécifique et de maximiser la flexibilité de leur infrastructure IoT dans le temps.
2. La centralisation des données des dispositifs IoT
En consolidant les données des appareils IoT sur une plateforme de pilotage agnostique, les entreprises obtiennent une vision d'ensemble centralisée et consolidée, voir corréler de leur environnement IoT.
Cette consolidation des données permet, par exemple, aux équipes opérationnelles de détecter des anomalies et d’identifier rapidement les schémas inhabituels, des comportements suspects ou corréler des événements. Les équipes sont alertées bien avant que les problèmes ne deviennent critiques.
Elles peuvent non seulement prendre des décisions éclairées rapidement face à des problèmes émergents, mais aussi anticiper des défaillances potentielles.
3. L’évolutivité des architectures IoT
Une plateforme de monitoring agnostique est conçue pour être évolutive, offrant une flexibilité pour s'adapter aux nouveaux besoins des entreprises. Elle est capable de gérer efficacement une quantité croissante d'appareils IoT, tout en traitant et en stockant de manière optimale un important volume de données sur le long terme.
Cette capacité d'évolution permet non seulement de répondre aux exigences actuelles, mais aussi d'anticiper les futurs développements technologiques et l'expansion des infrastructures IoT.
Cette évolutivité est un atout majeur pour les entreprises, leur permettant de s'adapter sans effort à l'expansion de leur infrastructure IoT. Elle garantit que, même face à une croissance rapide et substantielle du nombre d'appareils connectés, le système de monitoring maintient des performances.
Ainsi, les entreprises peuvent sereinement développer leur réseau IoT, sachant que leur plateforme de pilotage IoT évoluera harmonieusement avec leurs besoins, sans jamais compromettre la qualité du suivi ou l'intégrité des données collectées.
4. La réduction des coûts des dispositifs IoT sur le long terme
En évitant la dépendance à l’égard de solution de monitoring IoT propriétaires fermées et en capitalisant sur l’utilisation des ressources existantes ouvertes, les entreprises peuvent optimiser les investissements initiaux, mais aussi minimiser les dépenses opérationnelles à long terme.
La centralisation de la gestion et de la maintenance d’une seule plateforme IoT réduit significativement la complexité opérationnelle, ce qui se traduit par une diminution des ressources humaines et techniques nécessaires pour maintenir l'infrastructure.
Cette approche permet non seulement de réduire les coûts directs liés à l'acquisition et à la maintenance de technologies spécifiques, mais aussi d'améliorer l'efficacité opérationnelle globale.
De plus, en adoptant des solutions agnostiques et flexibles, les entreprises peuvent facilement adapter leur infrastructure IoT et être agiles face aux évolutions des besoins et des technologies sans avoir à effectuer des investissements massifs dans de nouveaux systèmes.
Cette capitalisation sur des ressources existantes permet non seulement de maximiser le retour sur investissement des équipements déjà en place et aussi de gagner en réactivité lors du déploiement de nouveaux dispositifs.
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En conclusion, une plateforme de monitoring IoT agnostique offre de nombreux avantages
- L'interopérabilité,
- La centralisation des données,
- L’évolutivité,
- La flexibilité
- La réduction des coûts
En adoptant une approche agnostique, les entreprises peuvent maximiser l’efficacité de leur infrastructure IoT, améliorer leurs opérations et rester compétitives sur un marché en constante évolution.
En tenant compte de ces critères importants, les entreprises peuvent ainsi choisir une plateforme de monitoring et de pilotage IoT de manière éclairée.
Il reste néanmoins un point de vigilance lors du choix d’une plateforme de pilotage IoT : la sécurité.
Smart Building : quelle plateforme IoT choisir pour éviter les silos ?
Plateforme IoT Smart Building : quelle solution choisir ?
La transformation numérique des bâtiments s’accélère. Des centaines, parfois des milliers de capteurs IoT (température, qualité de l’air, consommation énergétique, taux d’occupation, etc.) sont désormais installés dans les bureaux, les hôpitaux, les campus ou les bâtiments publics.
En France, le marché du smart building représentait déjà 1,73 milliard USD en 2023, et il pourrait atteindre 10,76 milliards USD d’ici 2030, avec une croissance annuelle moyenne de 29,8 % (Grand View Research). Une autre estimation prévoit une croissance plus modérée, de 12,3 % par an jusqu’en 2033 (Spherical Insights).
Le problème : les données restent trop souvent enfermées dans des silos, liées à des plateformes propriétaires ou à des systèmes de GTB (Gestion Technique du Bâtiment) peu interopérables. Résultat : intégrations complexes, coûts élevés et manque de vision globale.
La solution ? Choisir une plateforme IoT Smart Building interopérable et pérenne, capable de centraliser, analyser et valoriser l’ensemble des données, quel que soit le fabricant ou le protocole. Ce guide vous donne une grille claire pour comparer les solutions et éviter les pièges du “vendor lock-in”.
Qu’est-ce qu’une plateforme IoT pour smart building ?
Une plateforme IoT Smart Building est un socle technologique qui :
- collecte les données issues de capteurs et systèmes hétérogènes,
- les centralise dans une infrastructure sécurisée,
- les analyse pour fournir des tableaux de bord exploitables.
Différence avec une GTB : la GTB pilote principalement des systèmes techniques (CVC, éclairage, ascenseurs).
Une plateforme IoT, elle, va bien plus loin : elle agrège toutes les données issues d’équipements connectés, même hors du périmètre GTB, et les rend interopérables.
⚡ Et l’enjeu est énorme : le marché français des plateformes IoT est estimé à 560 millions USD en 2024, et devrait atteindre 1,08 milliard USD d’ici 2030, soit un doublement en 6 ans (Grand View Research).
Quels bénéfices pour bureaux d’étude et intégrateurs ?
Réduction des coûts de projet
Une plateforme multi-capteurs et multi-protocoles réduit considérablement les besoins en passerelles ou en développements spécifiques. Les bureaux d’étude gagnent en compétitivité dans leurs appels d’offres.
Simplification de la maintenance prédictive
Les intégrateurs peuvent mettre en place une maintenance prédictive smart building en s’appuyant sur des données homogènes et consolidées. Résultat : moins d’interventions curatives, plus de valeur ajoutée pour le client final.
Accélération des délais dans les appels d’offre
En disposant d’une plateforme IoT agnostique dès la conception, les intégrateurs présentent une solution claire, évolutive et différenciante, ce qui accélère la prise de décision des maîtres d’ouvrage.
Quelles limites présentent les plateformes propriétaires ?
Enfermement technologique (“vendor lock-in”)
Une fois engagés avec une plateforme fermée, il devient difficile d’intégrer de nouveaux capteurs ou services sans dépendre du fournisseur initial.
Conséquence ? Un empilement de plateformes et aucune vision centralisée de l’ensemble d’un parc.
Complexité d’intégration avec d’autres GTB
Les solutions propriétaires dialoguent mal avec les GTB existantes.
Chaque nouvelle intégration demande du temps, de l’argent et des compétences transverses (infrastructure, réseau, …) plutôt rares au sein d’une même structure.
Coûts cachés à long terme
Les licences, mises à jour et frais d’intégration se cumulent.
À long terme, la facture est souvent bien plus lourde qu’annoncée au départ.
Smart building : Comment choisir une plateforme IoT ?
Compatibilité multi-protocoles
Vérifiez la prise en charge des standards (LoRaWAN, Modbus, Zigbee, MQTT, etc.).
Plus la plateforme est ouverte, moins vous êtes dépendants.
Sécurité & souveraineté des données
Les données IoT d’un bâtiment sont sensibles (sécurité, vie privée, performance énergétique).
Assurez-vous à minima que l’hébergement est souverain (RGPD, cloud européen) et que la plateforme est sécurisée en https.
Scalabilité et évolutivité
Votre projet démarre avec 100 capteurs ?
Demain, il en comptera 10 000.
Une bonne plateforme doit être capable d’absorber cette montée en charge.
Facilité d’intégration (API & connecteurs)
Les API ouvertes et les connecteurs vers d’éventuelles GTB ou outils tiers (GMAO, ERP) sont indispensables pour réduire les silos IoT.
À noter : le marché de l’intégration IoT en France représente déjà 31,46 milliards USD en 2023, et devrait dépasser 39 milliards USD en 2024, avec une croissance moyenne de 15,3 % par an jusqu’en 2035 (Market Research Future).
Cela prouve que la demande pour des solutions interopérables explose.
Plateforme IoT propriétaire ou agnostique : quelle différence ?
| Critères | Plateforme propriétaire | Plateforme IoT agnostique |
|---|---|---|
| Interopérabilité | Limitée aux capteurs du fournisseur | Compatible multi-fournisseurs/protocoles |
| Évolutivité | Restreinte, dépend du fournisseur | Évolutive, scalable |
| Coût long terme | Licences + intégrations coûteuses | Optimisation progressive |
| Intégration GTB | Complexe, bridée | Facile grâce aux API ouvertes |
| Pérennité | Risque si l’éditeur change de stratégie | Durable, pas d’enfermement technologique |
Cas d’usage concret : un projet de monitoring énergétique IoT multi-fournisseurs.
Avec une plateforme propriétaire, il faut multiplier les passerelles et interfaces.
Avec une solution agnostique, tous les compteurs et capteurs sont intégrés dans un même tableau de bord.
Étude de cas : comment éviter les silos IoT dans un projet ?
Un bureau d’étude devait équiper un campus universitaire avec 3 marques de capteurs (qualité de l’air, chauffage, consommation électrique). Problème : chaque fabricant proposait sa propre interface, impossible de croiser les données sans développement lourd.
Conséquence : délais allongés, surcoûts, données fragmentées.
Solution choisie : une plateforme IoT agnostique, interopérable, capable de collecter les données des trois systèmes dans un tableau de bord unique.
Résultat : projet livré dans les temps, économies réalisées sur la maintenance, meilleure satisfaction client.
découvrez notre article de fond sur le sujet
Quels facteurs clés pour réussir un projet Smart Building ?
Pour réussir un projet IoT Smart Building, trois critères sont essentiels :
- Interopérabilité pour éviter les silos.
- Sécurité & souveraineté des données.
- Évolutivité pour anticiper l’avenir.
Et les chiffres du marché français confirment l’urgence : une croissance de 29,8 % par an d’ici 2030 pour les smart buildings, et un marché des plateformes IoT qui va doubler en 6 ans.
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FAQ – Plateformes IoT Smart Building et interopérabilité
Quelle est la différence entre GTB et plateforme IoT smart building ?
La GTB pilote des systèmes techniques (CVC, éclairage), alors que la plateforme IoT collecte et analyse toutes les données multi-capteurs, même hors GTB.
Une plateforme agnostique est-elle plus chère qu’une propriétaire ?
Non : si le coût initial peut sembler similaire, l’approche agnostique réduit les coûts cachés (intégration, licences, migrations).
Comment assurer la sécurité des données IoT ?
Choisissez une plateforme conforme RGPD, avec chiffrement bout-en-bout et hébergement souverain.
Peut-on connecter plusieurs capteurs hétérogènes sur une même plateforme ?
Oui. Une plateforme IoT interopérable supporte plusieurs protocoles (LoRaWAN, Modbus, Zigbee, MQTT) et intègre facilement des capteurs multi-fournisseurs.
Quels sont les critères essentiels pour choisir une plateforme IoT ?
Interopérabilité multi-protocoles, sécurité des données, évolutivité, et connecteurs API ouverts pour éviter le “vendor lock-in” et réduire les coûts cachés.
Copropriété : comment prouver le ROI IoT en assemblée générale ?
Comment convaincre vos copropriétaires d’adopter une plateforme IoT ?
La salle est pleine, l’assemblée générale commence. À l’ordre du jour : une proposition du syndic d’adopter une plateforme de monitoring énergétique.
À peine le sujet évoqué, les premières mains se lèvent : « Encore une dépense ! » « Nos charges ont déjà augmenté de 10 % l’an dernier ! » (source : FNAIM Grand Paris, 2023). Le décor est planté. Le syndic le sait : s’il veut faire passer ce vote, il doit sortir du flou et montrer des preuves chiffrées. Des chiffres simples, un retour sur investissement clair, et surtout une démonstration que la solution ne coûte pas, mais rapporte. C’est précisément là que IoT.Now devient son meilleur allié.
Pourquoi les copropriétaires rejettent-ils souvent les projets IoT ?
Les débats tournent souvent autour d’un même sujet : les charges.
Les copropriétaires voient chaque ligne supplémentaire comme une menace. Peu importe que la technologie soit innovante, ce qui compte pour eux, c’est la question : « Est-ce que ça va me coûter plus cher à la fin de l’année ? » Dans un contexte où les charges ont explosé, où les factures d’énergie sont imprévisibles et où de nouvelles obligations réglementaires s’accumulent (DPE collectif, décret tertiaire), la réponse doit être chiffrée et indiscutable.
Comment construire un argumentaire qui parle aux copropriétaires ?
Imaginez : lors de la dernière AG, un copropriétaire pointe la facture d’électricité des parties communes. Il remarque que la VMC consomme anormalement. Mais personne n’a d’explication précise. Le débat s’enlise, chacun accuse le syndic ou le prestataire…
Avec IoT.Now, la scène est différente. Le syndic ouvre un rapport Word généré par la plateforme. On y voit noir sur blanc :
- la VMC a surconsommé +30 % pendant trois mois
- une alerte avait été envoyée automatiquement au prestataire pour intervention,
- l’entretien préventif recommandé aurait coûté 400 €, contre une panne moteur estimée à 6 000 € si le problème avait été ignoré.
À ce moment-là, le débat change. Ce n’est plus « on nous rajoute une dépense », mais « on évite une facture élevée ».
Comment renforcer la sécurité et la transparence en AG ?
Autre scène fréquente en AG : un copropriétaire raconte qu’un prestataire est venu dans le local technique… sans prévenir. Les suspicions fusent:
— « Comment savoir si c’était légitime ? »
— « Et si quelqu’un avait pu toucher à nos installations ? »
Là encore, IoT.Now apporte une preuve. Chaque accès au local est horodaté et tracé. Une alerte est envoyée en temps réel au syndic, qui peut confirmer auprès du prestataire. Résultat : le syndic n’a pas besoin de se justifier à l’oral.
Il montre simplement le journal d’accès. Les faits parlent à sa place.
Comment expliquer simplement le ROI lot par lot ?
Le cœur de l’argumentaire, c’est le retour sur investissement.
Mais inutile de sortir des grands graphiques financiers.
Ce qui compte, c’est de ramener le calcul à l’échelle que chaque copropriétaire comprend : son lot. Exemple conservateur pour une copropriété de 60 logements :
| Poste d’économie | Montant annuel (€) | Hypothèse conservatrice |
|---|---|---|
| Économies d’énergie | 4 500 € | 10 % sur 45 000 € (bas de la fourchette 10–20 %) |
| VMC (surconsommation/panne) | 1 000 € | Détection + entretien préventif |
| Pannes majeures évitées | 1 800 € | 0,3 panne/an × 6 000 € |
| Déplacements inutiles évités | 900 € | 5 × 180 € |
| Temps administratif gagné | 1 600 € | Préparation AG/reporting |
| Total économies brutes | 9 800 € | |
| Coût IoT.Now | xxxx € | Abonnement annuel type |
| Economies | +xxx € | |
| ROI global | +x % |
Il vous suffit ensuite de ramener les économies à l’échelle d’un logement. « En clair, IoT.Now s’autofinance dès la première année, même avec des hypothèses prudentes. »
Comment IoT.Now aide à convaincre et rassurer en AG ?
En AG, les copropriétaires veulent être rassurés. Ils veulent voir des faits, des preuves, des scénarios concrets. IoT.Now change la posture du syndic : il ne demande plus de voter une dépense, il démontre qu’il propose une solution qui protège le budget et renforce la transparence.
Résultat : une décision plus facile à obtenir, et une confiance renforcée.
“Vous devez convaincre vos copropriétaires en AG? Découvrez comment IoT.Now vous aide à justifier le ROI avec des rapports pédagogiques, la traçabilité des accès et des économies documentées dès la première année.” > demande de démo
FAQ – Convaincre en AG et prouver le ROI d’une plateforme IoT
1. Combien coûte une plateforme de monitoring comme IoT.Now par logement ?
Beaucoup de copropriétaires craignent une “dépense en plus”. En réalité, ramené au logement, l’abonnement IoT.Now représente environ 150 €/lot/an dans un scénario type de 60 logements. Et les économies constatées (énergie, VMC, déplacements évités, temps administratif) atteignent 163 €/lot/an même en prenant des hypothèses prudentes. 👉 Autrement dit, la solution s’autofinance dès la première année.
2. Peut-on vraiment prouver les économies en AG ?
Oui. L’erreur serait de promettre sans chiffres. IoT.Now génère des rapports Word avec graphiques et commentaires, que le syndic peut projeter en AG. On peut y montrer :
- une VMC surconsommant +30 % sur trois mois
- une alerte envoyée en temps réel directement au prestatire
- le coût d’un nettoyage préventif comparé au prix d’une panne moteur (2 000–6 000 €).
Quand les copropriétaires voient ce type de comparatif concret, ils comprennent immédiatement l’intérêt.
3. Comment IoT.Now renforce la transparence du syndic ?
En AG, la confiance se gagne avec des preuves. IoT.Now trace :
- les consommations (chauffage, électricité, eau, VMC),
- les accès aux locaux techniques (horodatés, identifiés).
Ainsi, quand un copropriétaire demande : « Qui est entré dans le local technique mardi ? », le syndic n’a plus besoin de chercher dans ses mails : il montre directement le journal d’accès. Ce niveau de transparence apaise les débats.
4. Quelles économies peut-on attendre sur les déplacements de prestataires ?
Sans monitoring, un syndic appelle souvent un prestataire “à l’aveugle”, qui facture un déplacement de 150–300 €, même si aucune panne n’est trouvée. Avec IoT.Now, une alerte précise la nature de l’anomalie. Le prestataire sait avant de se déplacer si l’intervention est utile. Cela permet d’éviter plusieurs interventions inutiles chaque année, soit 900 € d’économies en moyenne pour une copropriété de 60 lots.
5. Est-ce que la sécurité est vraiment prise en compte ?
Oui, mais de façon réaliste. IoT.Now ne juge pas si un accès est “frauduleux” ou non. Il trace tous les accès aux locaux techniques et alerte le syndic ou le prestataire en temps réel. C’est ensuite au syndic de valider la légitimité de l’accès.
Cette traçabilité renforce la vigilance et rassure les copropriétaires : plus de zones d’ombre, chaque événement est documenté.
6. En quoi IoT.Now est-il différent d’une GTB classique ?
Les copropriétaires connaissent parfois la GTB (Gestion Technique du Bâtiment), mais c’est une solution lourde et coûteuse, adaptée aux grandes surfaces tertiaires. IoT.Now, c’est l’équivalent léger et agile pour une copropriété :
- déployable en moins de 30 jours,
- compatible avec tous types de capteurs (agnostique),
- orienté rapport AG et ROI plutôt que supervision technique complexe.
Concrètement : moins de coût, plus de pédagogie.
7. Comment présenter IoT.Now en AG pour maximiser les chances d’adoption ?
Trois conseils pratiques :
- Parlez chiffres par lot : 150 € de coût vs 163 € d’économies → ça parle immédiatement.
- Projetez un rapport Word IoT.Now avec graphiques et commentaires.
- Donnez un exemple concret : VMC en surconsommation, panne évitée, déplacement inutile économisé.
L’objectif n’est pas de “vendre une techno”, mais de montrer un investissement utile et rassurant.
Copropriété : comment réduire les interventions prestataires inutiles ?
Pourquoi les interventions inutiles coûtent cher en copropriété ?
Il est 18h un vendredi soir. Le syndic d’une copropriété reçoit un appel d’un résident : « Il n’y a plus de chauffage, vous devez envoyer quelqu’un ! »
En urgence, le syndic contacte le prestataire de maintenance. Déplacement le lendemain matin, facture 250 €… pour constater qu’il n’y avait aucune panne, seulement un réglage temporaire.
Ce scénario est banal en copropriété.
Ces interventions inutiles pèsent lourd sur les charges annuelles et alimentent la défiance des copropriétaires en assemblée générale. Et derrière ces coûts visibles se cache un autre problème : l’absence de maintenance préventive, qui entraîne des pannes lourdes et évitables.
Avec une plateforme de monitoring IoT comme IoT.Now, les syndics passent d’une gestion réactive et subie à une gestion pilotée par la donnée, proactive et transparente.
Les interventions inutiles : un coût récurrent et frustrant
Des factures qui s’accumulent
Un déplacement prestataire est facturé en moyenne 150 à 300 € (contrats de maintenance standards).
Dans une copropriété de 60 lots, il n’est pas rare d’avoir 5 à 6 interventions à vide par an.
Résultat : 900 à 1 500 € de charges inutiles, uniquement pour des interventions qui n’auraient jamais dû avoir lieu.
Pourquoi ces interventions inutiles ?
- Fausse alerte (coupure temporaire, pic de consommation).
- Locaux techniques inaccessibles au moment du passage → déplacement facturé.
- Absence de suivi en temps réel → le syndic “appelle par précaution”.
Chaque petite facture semble supportable, mais cumulées, elles deviennent un poids financier et un motif de conflit en AG.
L’impact caché : la maintenance réactive qui coûte cher
Maintenance subie = pannes lourdes
Quand les équipements collectifs (chauffage, VMC, pompe, ascenseur) ne sont pas suivis en continu, les problèmes s’aggravent jusqu’à la panne. Exemple : une VMC encrassée peut voir sa consommation augmenter de 30 % (CEREMA, 2025).
Sans alerte, elle finit par griller son moteur → remplacement à 6 000 €, en plus du déplacement prestataire.
Maintenance préventive = économies durables
Avec un monitoring IoT :
- L’anomalie est détectée tôt
- Le prestataire peut être directement alerté sans perte de temps pour le syndic et les copropriétaires
- Un simple nettoyage ou remplacement de filtre à 400 € évite la panne lourde.
Économie réalisée : 5 850 € sur une seule intervention.
En clair : IoT.Now ne se contente pas d’éviter les déplacements inutiles, il allonge la durée de vie des équipements et préserve le budget travaux.
Comment IoT.Now réduit les interventions inutiles en copropriété ?
Des alertes précises et contextualisées
IoT.Now détecte les dérives (VMC, chauffage, eau) et envoie une alerte par mail ou SMS au syndic et/ ou au prestataire. Le prestataire sait avant de venir si une intervention est justifiée
Le syndic évite les appels intempestifs
Des rapports factuels pour convaincre en AG
Export Word, XLS, CSV → données claires et partagées.
Exemple concret : “Voici 5 interventions évitées cette année, soit 1 200 € économisés.” En AG, le syndic gagne en crédibilité et transparence.
Une durée de vie prolongée des équipements
- Détection préventive = entretien ciblé.
- Moins de remplacements coûteux.
- Investissements mieux planifiés.
Cas concret : combien une copropriété peut-elle économiser ? de 60 lots
Sur une copropriété de 60 lots :
Sans IoT.Now :
- 5 interventions inutiles/an = 1 200 €.
- Une VMC remplacée prématurément = 6 000 €.
- Total charges évitables : 7 200 €.
Avec IoT.Now :
- Alertes → interventions utiles uniquement.
- VMC : nettoyage 400 € au lieu d’un remplacement 6 000 €.
- Économies : 6 800 €/an.
IoT.Now permet de gagner près de 7 000 € par an et de prolonger la durée de vie du patrimoine technique. (attention aux chiffres … / de plus ils doivent être cohérents dans les différents articles de blog)
Comment justifier les économies en assemblée générale ?
Les interventions prestataires inutiles et la maintenance réactive sont des coûts cachés qui fragilisent les budgets des copropriétés et la confiance envers le syndic. Avec IoT.Now, vous transformez cette équation :
- moins de déplacements inutiles,
- plus de maintenance préventive,
- une durée de vie prolongée des équipements,
- un ROI clair et démontrable dès la première année.
Plutôt que de dépenser pour rien, investissez pour anticiper. “Vous subissez des factures d’interventions inutiles ? Découvrez comment IoT.Now réduit vos charges et prolonge la durée de vie de vos équipements grâce à un monitoring en temps réel.” > CTA demo
FAQ – Interventions inutiles et maintenance préventive en copropriété
1. Quel est le coût moyen d’un déplacement prestataire en copropriété ?
Les contrats de maintenance facturent généralement 150 à 300 € par déplacement, même si aucune réparation n’est effectuée. Dans une copropriété de 60 lots, cela représente 900 à 1 500 € par an pour des interventions inutiles.
2. Pourquoi les interventions inutiles sont-elles si fréquentes ?
Elles proviennent souvent de fausses alertes, de micro coupures, ou encore de locaux techniques inaccessibles lors de la venue du prestataire. Sans données précises, le syndic est contraint d’appeler “par précaution”, ce qui génère des factures à vide.
3. Qu’est-ce que la maintenance préventive en copropriété ?
La maintenance préventive consiste à intervenir avant la panne, en repérant les dérives de consommation ou les anomalies. Exemple : une VMC qui consomme 30 % de plus qu’à la normale → anticiper un simple nettoyage du filtre à 400 € évite un remplacement moteur à 6 000 €.
4. En quoi le monitoring IoT change-t-il la gestion des interventions ?
Avec une plateforme comme IoT.Now :
- les anomalies sont détectées en temps réel,
- une alerte est envoyée par mail ou SMS au syndic et au prestataire,
- l’intervention est programmée uniquement si elle est nécessaire.
Résultat : moins de déplacements inutiles, plus de réparations ciblées.
5. Quel ROI attendre en copropriété ?
Dans une copropriété type de 60 lots, IoT.Now permet :
- d’éviter 5 à 6 déplacements inutiles/an → 1 200 € d’économies,
- de prolonger la durée de vie des équipements (ex. VMC : 400 € entretien vs 6 000 € remplacement).
ROI global : 6 800 €/an d’économies pour un coût de 150 €/lot/an.
6. Comment justifier ces économies en assemblée générale ?
IoT.Now génère des rapports sur mesure sous Word, XLS et CSV faciles à présenter en AG.
Le syndic peut prouver :
- le nombre d’interventions évitées,
- les économies réalisées,
- la durée de vie prolongée des équipements.
Cela renforce sa légitimité et la confiance des copropriétaires.
Comment réduire les charges énergétiques en copropriété ?
Suivi énergétique en copropriété : comment alléger vos charges ?
Les charges énergétiques représentent en moyenne 35 à 45 % du budget d’une copropriété (source : ANAH). Dans certains immeubles anciens avec chauffage collectif, ce poste peut même atteindre 60 % des charges totales. Or, depuis 2021, le prix du gaz et de l’électricité a grimpé de +50 % en moyenne (Ministère de la Transition Énergétique). Face à cette spirale, les syndics et bailleurs doivent trouver des solutions pour réduire la consommation énergétique, non seulement pour alléger les charges, mais aussi pour se conformer aux obligations réglementaires : DPE collectif obligatoire depuis 2024, décret tertiaire (-40 % d’ici 2030), et contraintes RE2020 pour les bâtiments neufs. La bonne nouvelle : il est possible d’agir dès maintenant, même sans voter des travaux lourds et coûteux en assemblée générale.
Pourquoi agir sur la consommation énergétique en copropriété ?
Un poids financier difficile à justifier
- Les charges énergétiques pèsent lourd : 1 copropriétaire sur 2 juge que leurs charges sont devenues “trop élevées” (source : FNAIM, 2024).
Une hausse de +10 % du prix du gaz entraîne en moyenne +4 à +5 % de charges supplémentaires sur un immeuble chauffé collectivement.
Une pression réglementaire croissante
- DPE collectif obligatoire depuis janvier 2024 pour les immeubles construits avant 2013.
- Décret tertiaire : objectif de -40 % de consommation énergétique d’ici 2030.
- Aides publiques conditionnées à un suivi rigoureux (ANAH, MaPrimeRénov’ Copropriétés).
Un enjeu de gouvernance
Un syndic qui démontre une stratégie active est perçu comme un partenaire de confiance. À l’inverse, un syndic qui n’apporte que des hausses de charges sans preuves tangibles risque de perdre sa crédibilité.
Quels sont les leviers classiques pour réduire la consommation ?
1. La rénovation thermique
- Isolation des combles, toitures et façades → jusqu’à -30 % de consommation énergétique (ADEME).
- Remplacement des fenêtres par du double vitrage performant.
Obstacles : coûts très élevés, difficultés d’obtention de majorité en AG, délais longs.
2. L’optimisation des équipements collectifs
- Modernisation des chaufferies (régulation intelligente, chaudières à condensation).
- Éclairages LED avec détecteurs de présence → économies de 30 à 50 % sur l’éclairage.
- Systèmes de ventilation optimisés pour limiter les pertes thermiques.
3. La sensibilisation des résidents
- Communication régulière sur les gestes économes (température, usage de l’eau).
- Mise en avant d’objectifs collectifs pour favoriser l’adhésion.
Ces leviers sont efficaces mais souvent longs et complexes à mettre en œuvre.
Pourquoi le monitoring IoT est-il le levier souvent négligé ?
Pourquoi mesurer avant d’investir ?
“On ne peut pas améliorer ce qu’on ne mesure pas.” Les syndics qui engagent des travaux sans données précises prennent le risque de financer des solutions inefficaces.
Le monitoring IoT permet de :
- Identifier les postes énergivores exacts (ex : chaufferie vs ascenseurs).
- Détecter des anomalies invisibles et prévenir les pannes : détection de fuite d’eau, chaudière qui surchauffe la nuit, éclairage injustifié …
- Prioriser les actions et les interventions → ROI rapide et mesurable.
Exemple concret
Dans une copropriété de 80 logements à Lyon, les charges chauffage augmentent de +12 % en un an. Grâce au monitoring en temps réel, le syndic démontre en AG que 20 % de la consommation provient d’une programmation défaillante d’une chaudière secondaire. Après intervention, l’économie réalisée atteint 8 000 € par an, soit une réduction directe de charges pour chaque copropriétaire. Résultat : le syndic prouve sa bonne gestion et évite un vote conflictuel en AG.
Comment l’IoT améliore la gestion énergétique en copropriété ?
1. Choisir une plateforme agnostique
Contrairement aux solutions propriétaires, une plateforme comme IoT.Now s’intègre avec n’importe quels capteurs ou équipements existants, sans investissement massif initial.
2. Centraliser et visualiser les données
Chauffage, eau, électricité, ascenseurs, éclairage : tout est suivi dans un tableau unique. Comparaison bâtiment par bâtiment pour cibler les dérives.
3. Préparer des rapports clairs pour les AG
Graphiques simples et lisibles, compréhensibles même pour des copropriétaires non techniques. Mise avant des dépenses (et économies) énergétiques par année ou suite à des prises d’initiatives Mise en avant des économies réalisées ou évitées.
Le syndic devient proactif : il anticipe les hausses et les présente comme un résultat de gestion, pas comme une fatalité.
Réduire la consommation en copropriété : par où commencer ?
Réduire la consommation énergétique en copropriété ne repose pas uniquement sur des travaux lourds. C’est avant tout une démarche de pilotage basée sur la donnée :
- mesurer précisément,
- identifier les dérives,
- corriger rapidement.
Avec un suivi énergétique intelligent, les syndics et bailleurs peuvent :
- alléger les charges,
- respecter les obligations réglementaires,
- et surtout gagner la confiance des copropriétaires.
Réduire la consommation énergétique d’une copropriété n’est pas qu’une affaire de gros travaux. C’est avant tout une question de pilotage intelligent grâce aux données. Syndics, bailleurs : vous voulez réduire les charges sans attendre 5 ans de travaux ? Découvrez comment IoT.Now vous aide à mesurer, analyser et piloter vos consommations
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FAQ – Réduire la consommation énergétique en copropriété
Quelles solutions pour réduire la consommation en copropriété ?
Travaux de rénovation thermique, optimisation des équipements collectifs, et suivi énergétique IoT pour détecter les dérives en temps réel.
Quels travaux sont prioritaires pour baisser la facture énergétique ?
Isolation des toitures et façades, modernisation des chaufferies, et régulation intelligente. Mais avant tout : mesurer les consommations pour cibler les priorités.
Comment suivre la consommation énergétique d’une copropriété ?
Soit par les factures classiques, soit via une plateforme de monitoring IoT qui centralise eau, gaz, électricité et ascenseurs, avec rapports prêts pour l’AG.
Quels outils de suivi énergétique existent pour les copropriétés ?
Les plateformes de monitoring IoT agnostiques comme IoT.Now, capables d’intégrer n’importe quel capteur et de produire des comparatifs “avant/après”.
Quelles obligations légales imposent de réduire la consommation ?
DPE collectif (2024), décret tertiaire (-40 % d’ici 2030), RE2020 pour les bâtiments neufs.





